De ce que j’ai pu tester de mon passage chez un sophrologue à Paris, j’ai joui pleinement de la détente, de la relaxation et d’une projection dans le positif.
Une expérience unique que je ne manquerai pas de revivre
J’ai découvert cette méthode de relaxation par hasard. C’est juste après un coup de tête. Comme une de mes amies ne cessait de me raconter ses bienfaits, je voulais la tester par moi-même. Tout commence par une séance de relaxation, où je suis allongé, le bras le long du corps et mes yeux fermés. Je respirais profondément par le ventre et m’abandonnai en toute confiance à la douceur et au calme de la voix du sophrologue. Par la suite, j’étais invité à détendre une à une, chaque partie de mon corps en commençant par la tête : les cheveux, le front, les paupières, les joues, les mâchoires, la bouche, la langue… Viennent ensuite les muscles du cou : la nuque, les épaules, le dos, la colonne vertébrale pour se détendre jusqu’aux orteils. Dans cet état de profonde relaxation, la sophronisation, soit un état entre la veille et le sommeil, j’ai pu définir mentalement pour la première fois, ce qu’est un paysage de détente. Le paysage de détente fait partie d’un exercice classique de sophrologie. J’étais invité à visualiser un paysage de mon choix, un endroit agréable où l’on se sent bien et détendu. Je ne vous le cache pas, pour moi, c’est une plage de sable fin avec une mer bleu turquoise, à l’ombre de cocotiers…
Et j’en suis friand !
Chez moi, je ne manquai pas de reproduire l’expérience et continuai de voir le sophrologue paris, régulièrement. Il a pu m’apprendre beaucoup de choses. Entre autres, le fait que la sophrologie est un excellent outil pour gérer les situations de stress, chasser les pensées négatives et se projeter dans le positif. Elle permet aussi d’être en paix avec soi-même parce qu’elle incite à être à l’écoute de son corps, de ses sensations, de son perçu… Bref, la sophrologie permet de dialoguer avec sa conscience, de se retrouver, de retrouver une certaine équilibre entre le physique et le mental. Pour la petite histoire, cette discipline provient des racines grecques SOS-PHREN-LOGOS soit « étude de la conscience en équilibre ». Comme la sophrologie ne produit que de bonnes choses, je ne trouve pas de raisons de s’en priver.